Contemporain·Non classé

Nous les menteurs, E. Lockhart

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Auteur: E. Lockhart

273 pages

Editions Gallimard

Résumé: Une famille belle et distinguée. Une île privée.
Une fille brillante, blessée ; un garçon passionné, engagé.
Un groupe de quatre adolescents – les Menteurs – dont l’amitié sera destructrice.
Une révolution. Un accident. Un secret.
Mensonges sur mensonges.
Le grand amour. La vérité.

Mon Avis

Ce livre me tentait depuis un moment, la couverture est vraiment super belle je trouve. Elle donne envie de vacances et de se poser sur la plage, ça fait du bien vu le temps en ce moment tout gris. Je pensais passer un bon moment avec ce roman, mais ce ne fut pas le cas. En effet, j’ai hésité plusieurs fois à l’abandonner mais sur Instagram on m’a dit que le début était bizarre mais après l’histoire était beaucoup mieux. Mais j’attend encore que l’histoire devienne mieux, je n’ai pas du tout adhéré et je me suis même ennuyer avec cette lecture. Il est rare qu’un livre me déplaise autant mais là pour le coup j’ai vraiment pris sur moi pour le finir. Certes la fin est surprenante et il y a juste la dernière partie qui m’a plus.

Pour faire court avec l’histoire, une famille riche passe leur été sur leur île depuis longtemps. Mais là un drame c’est passé, on ne sait pas trop de quoi il s’agit. Une jeune adolescente de cette famille a perdu la mémoire après ce drame. On découvre en même temps qu’elle retrouve la mémoire ce qu’il s’est réellement passé.

J’ai trouvé qu’il y avait vraiment des longueurs, et il manquait de l’action pour que la lecture soit passionnante. La fin est surprenante et passionnante mais c’est tout. Pour moi c’est une grosse déception, je ne suis pas rentrée dans l’histoire. Je ne me suis pas attachée aux personnages, trop de description. Après à certains chapitres, on retrouve une petite histoire inventée, selon moi cela n’apporte vraiment rien de particulier au roman. Heureusement que le roman n’était pas plus long. Par contre, je pense que le début aurait pu être raccourci mais à l’inverse la dernière partie beaucoup plus développée.

Une réflexion au sujet de « Nous les menteurs, E. Lockhart »

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